Un jugement, datant du 8 février 2006, prononce le divorce par consentement mutuel du couple X. et homologue la convention réglant les conséquences de leur divorce.
Un peu plus de dix ans plus tard, par lettre du 10 novembre 2017, l’ex-épouse demande elle-même (sans passer par un avocat) la rectification d'une erreur matérielle affectant la date de la convention. Le juge aux affaires familiales accueille sa requête. Sa décision sera cassée (Cass. 2e civ., 11 avril 2019, no 18-11073).